Mardi le 22 Septembre - 2015 -
Comme nous étions logés au Picolo Castello , un hôtel de bon goût qui nous a servi un très bon déjeuner . Ceci met un peut de changement avec notre routine au petit resto café - croissant .
À 8:00 heures nous prenons encore quelques photos en sortant facilement de San Gimignano . Le balisage est bon , mais ne correspond pas avec le guide .
Sur notre route , on remarque beaucoup les cyprès qui ornent le paysage surtout aux résidences . De voir autant de ces arbres est typique à la Toscane .
La fin de notre étape nous réserve une bonne montée pour arriver à Monteriggioni . Nous tentons d'avoir une chambre privée au refuge pèlerins et comme on n'a pas réservé d'avance il ne reste que des lits en dortoir . On opte pour une réservation à l'hôtel de la place .
Comme le village de Monteriggioni est style médiéval , alors c'est fort achalandé en touristes .
En Italie les calzones et pizzas sont souvent au menu .
Comme nous étions logés au Picolo Castello , un hôtel de bon goût qui nous a servi un très bon déjeuner . Ceci met un peut de changement avec notre routine au petit resto café - croissant .
À 8:00 heures nous prenons encore quelques photos en sortant facilement de San Gimignano . Le balisage est bon , mais ne correspond pas avec le guide .
Sur notre route , on remarque beaucoup les cyprès qui ornent le paysage surtout aux résidences . De voir autant de ces arbres est typique à la Toscane .
La fin de notre étape nous réserve une bonne montée pour arriver à Monteriggioni . Nous tentons d'avoir une chambre privée au refuge pèlerins et comme on n'a pas réservé d'avance il ne reste que des lits en dortoir . On opte pour une réservation à l'hôtel de la place .
Comme le village de Monteriggioni est style médiéval , alors c'est fort achalandé en touristes .
Le bélier
Le bélier est un engin servant à enfoncer aussi bien les portes que les murailles de faible épaisseur. Lors d'un siège, les béliers utilisés étaient rarement porter par les hommes à cause de leurs poids et dimensions. Parfois posés sur des chariots, ils étaient le plus souvent montés en balancier. Une charpente recouverte de peaux mouillées protégeait les hommes, manoeuvrant par un mouvement de va et vient une poutre de 10 mètres de long garnie d'une tête en fer.
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